COM: Centro Operativo Misto...
Des cartes intéressantes
Mais on attend sutout notre laisser-passer pour accéder au sommet
La carte des commune à risques. Nous sommes à Nicolosi
Enfin, après plusieurs heures d'attente, nous y voici!
L'origine de la coulée qui menace Nicolosi, à la fissure de 2100 m
Autoportrait...
Voici le fameux panache qui saupoudre Catane...
Allo, tout va bien..., je bronze.
Gastrorandonneurs. Vous comprendrez pourquoi plus tard...
Ah, c'est déjà plus clair, là?
Après la bière, on remonte...
Il y a même des guarda civile sur la montagne
Les bull n'arrêtent pas!
Allez, avanti!
La bouche au nord de la montagnola, peu après le terminal du téléphérique
La bouche à l'altitude 2550m
La partie 'gastro' de la randonnée
Miam!
Euuuh, passe-moi l'sel!
Le spectacle est fabuleux
Y a pas comme un bruit, là?
Santé!!
De la Mandarine Napoléon. Si, si!
Hein, qu'on est bien, sur l'Etna?
Avec le cone sud-est en arrière-plan
Le terminal du téléphérique...
Le sud-est, encore. On n'aura pas le courage de monter jusque là...
Le soir tombé, du rouge apparaît dans les gros panaches de cendres
Et le nouveau cône apparaît à l'est du sud-est (Pizzi dei Neri?)
On a une meilleure vie du haut des pylônes du téléski
La fracture au pied du sudestino fait rougeoyer les vapeurs
Nous redescendons le long de la coulée
Crilibi repousse du pied un bloc encore rouge. Chaud!
Le bloc est passé à 1 mètre. Chaud aussi!
La fissure et la coulée
Alain, trop pressé, a chuté!
Le petit déj du lendemain matin. Finalement, le bar était ouvert et servait croissants et cappucini...
De retour à Catane, au marché aux poissons, sous les retombées de cendres.
Chacun se protège comme il peut.
La glace, pour les poissons
A l'aéroport avec Frank Pothé et son groupe 'Spécial éruption'
Le bordel à l'aéroport: tous les vols sont annulés!
A cause de la 'cenere vulcanica, tutti' les vols seront...
'ritardi o calcellati' . Bref on a droit à un jour (au moins) de plus ici.
Et voici le fautif...
le panache...
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