Allégés d'une bonne partie de notre eau et de notre nourriture (et de notre saucisson sicilien, foutu renard!), nous entamons notre descente à pied.

Cette descente que nous avions envisagée comme une petite partie d'exercice agréable se révéla assez pénible. La pente était raide, nous descendions dans les nuages, et Alain, qui avait choisi des chaussures légères qui s'étaient révélées excellentes pour gambader au sommet, regrettait l'absence de soutien aux chevilles. Un bon repas et une petite sieste sur le chemin nous permit de terminer notre retour vers la civilisation, et un bon petit verre, à notre aise.